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07/06/2013

Nutrisavings, quand l'entreprise récompense ses salariés qui mangent sainement

Edenred, inventeur de la marque Ticket Restaurant, et SavingStar, société américaine de coupons électroniques, ont annoncé le lancement d'une solution destinée à promouvoir l’adoption d’une alimentation saine auprès des salariés américains : NutriSavings. En adhérant à NutriSavings, le salarié bénéficiaire fixe des objectifs avec son entreprise afin d’améliorer la qualité nutritionnelle de son panier de courses, via un score accessible sur Internet et sur Smartphone. Dès qu’il a atteint ses objectifs, l’adhérent au programme reçoit des coupons de réduction électroniques sur les produits à meilleure qualité nutritionnelle. Il a également accès à des contenus éducatifs sur les bénéfices d’une alimentation équilibrée, tels que des vidéos et des contenus téléchargeables.

Ce programme vise à réduire les dépenses de santé engagées par les entreprises : en effet, aux États-Unis, les dépenses de sécurité sociale sont prises en charge par l’employeur, et plus de 70% des dépenses de santé proviennent de maladies chroniques liées à l’obésité. Les entreprises ont donc tout intérêt à promouvoir la prévention. Une étude conduite en 2012 par le National Business Group on Health a révélé une augmentation de leurs dépenses liées à la promotion d’une alimentation équilibrée et d’une activité physique régulière. Aujourd’hui, près de 90% d'entre elles ont mis en place des programmes d’incitations et dépensent pour cela 520 dollars US par salarié et par an en moyenne, soit deux fois plus qu’en 2009.

Céline Laisney, Centre d'études et de prospective

Source : Communiqué de presse Edenred

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06/06/2013

Des sites Internet pour lutter contre le gaspillage alimentaire

Le gaspillage alimentaire fait l'objet de nombreuses initiatives dont certaines, prenant en compte les contraintes des consommateurs en termes de budget ou d'organisation des repas, proposent des solutions à la fois simples et innovantes. Ainsi, le site iCuisto donne des idées de recettes en fonction des ingrédients et des restes dont on dispose, et génère automatiquement la liste de courses pour compléter en cas de besoin. Sa base de données, enrichie par des cuisiniers amateurs, propose près de 700 recettes, dont les moins chères ne reviennent qu'à 10 centimes d'euros par personne. Un moteur de recherche permet de composer son menu en fonction de critères comme le budget disponible, le temps de préparation ou encore le niveau de difficulté de la recette.

Le site Zéro gâchis permet quant à lui aux magasins de déclarer les denrées approchant de la date limite de consommation et qui sont vendues moins cher. Le consommateur peut repérer les produits en question sur le site et géolocaliser leurs points de vente. Quatre grandes surfaces de Brest testent le concept depuis avril 2012 : le nombre de produits achetés ainsi aurait permis de réduire le gaspillage par deux. Ces deux sites ont été créés par de jeunes entrepreneurs.

Céline Laisney, Centre d'études et de prospective

Sources : iCuisto , Zéro gâchis 

16:33 Publié dans 5. Fait porteur d'avenir, Alimentation et consommation, Environnement | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

05/06/2013

L'Europe du Nord gagnée par le végétarisme

D'après la Fédération des végétariens d'Allemagne (Vebu), l'Allemagne compterait sept millions de végétariens, dont 700.000 adeptes du véganisme (régime alimentaire strictement végétalien qui exclut la viande mais aussi les produits dérivés des animaux comme le lait, les œufs, le miel, le cuir ou la laine). Le nombre de végans serait en augmentation de 20% à 30% par an. En témoigne aussi le succès de Veganz, chaîne nationale de supermarchés, dont le chiffre d'affaires a explosé et qui projette de développer vingt filiales dans d'autres pays européens dans les trois années à venir. Ce distributeur propose des produits « de substitution » par rapport aux produits traditionnels allemands comme des saucisses au soja et au tofu, ou des schnitzels à base de protéine de blé, qui permettent au consommateur de conserver ses habitudes alimentaires.

Aux Pays-Bas, l'ONG Natuur en Milieu a offert aux clients de la chaîne de supermarchés Jumbo, durant le mois de mai 2013, un steak végétal pour chaque morceau de viande acheté. L'opération, qui a coûté 2,5 millions d'euros, a été financée par la deuxième plus grande loterie du pays. L'ONG vise surtout à augmenter le nombre de « flexitariens », personnes qui réduisent leur quantité de viande consommée ou s'en passent un jour par semaine par exemple. Une étude néerlandaise montre en effet que si plus d'un quart de la population de ce pays peut être classé dans la catégorie des « meat lovers » et que 4% sont au contraire des « meat avoiders », la plus large partie, près de 70%, seraient, pour diverses raisons, des « meat reducers ». Réduire sa consommation de viande serait aussi devenu plus facile avec le développement de produits de substitution à base de soja.

Céline Laisney, Centre d'études et de prospective

Sources :

- Bakker E. / Dagevos H., « Reducing Meat Consumption in Today's Consumer Society : Questioning the Citizen-Consumer Gap ». Journal of Agricultural and Environnemental Ethics, 12/2012. 

- « Le salut de la saucisse allemande passera-t-il par le soja ? » Le Monde, 18/04/2013, « Quand la loterie néerlandaise distribue des steaks végétaux », Le Figaro, 16/04/2013

 

16:30 Publié dans Alimentation et consommation | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

04/06/2013

Performances comparées des exploitations

L'OCDE vient de publier un rapport sur les performances économiques comparées des exploitations de neuf pays ou régions (l'Allemagne, l'Angleterre, l'Australie, le Canada, les États-Unis, l'Estonie, la Flandre en Belgique, l'Italie et les Pays-Bas).

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16:12 Publié dans Exploitations agricoles, Production et marchés | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

03/06/2013

L'évaluation du risque d'abandon de terres en Europe

Le Centre commun de recherche (CCR) de la Commission européenne a mené une évaluation du risque d'abandon de terres agricoles dans l'UE des 27, l'objectif étant de produire un indicateur de risque. Sept principaux facteurs d'abandon de terres ont été identifiés : le faible revenu agricole, le manque d'investissements sur l'exploitation, l'âge avancé et le faible niveau de qualification du chef d'exploitation, la taille réduite des structures, la faiblesse du marché foncier, la faible densité de population.

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16:03 Publié dans Agriculteurs | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

Les géants de l'agroalimentaire dénoncent les biocarburants

Unilever et Nestlé ont rejoint plusieurs ONG pour dénoncer les politiques de soutien aux biocarburants. Dans une lettre adressée au Premier ministre britannique, David Cameron, les dirigeants des deux leaders mondiaux de l'agroalimentaire dénoncent les impacts négatifs du développement des biocarburants sur la sécurité alimentaire, en raison de leurs effets sur les prix. Citant des simulations des Nations unies, la lettre affirme que les objectifs d'incorporation pourraient provoquer des hausses de prix des denrées concernées de 20% à 36% d'ici 2020. Ces hausses de prix affectent, selon eux, la capacité des entreprises de l'agroalimentaire à fournir des produits à des prix abordables.

Par ailleurs, le président de Nestlé met en avant sur son blog l'impact négatif des biocarburants sur les ressources en eau, citant des travaux du Department of Energy américain, et rappelant les résultats d'une conférence organisée en 2012 avec l'International Institute for Sustainable Development (IISD) sur le sujet. Dans la lettre, signée également par les dirigeants d'Action Aid UK, OXFAM GB et WF-UK, ils demandent à M. Cameron, qui préside actuellement le G8, d'user de son influence au sein de cette instance pour sensibiliser les autres pays à cet enjeu.

Alexandre Martin, Centre d'études et de prospective

Sources :Financial Times , Nestlé 

16:01 Publié dans Biomasse/Biocarburants, IAA | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

16/05/2013

Portrait des hors cadres familiaux

Si les porteurs de projets hors cadres familiaux (HCF, entendus comme « un agriculteur qui s’installe sur des terres qui n’appartiennent pas à sa famille ») représentent près de 30% des installations des moins de 40 ans avec des aides de l’État, ils restent mal connus. C'est pourquoi les Jeunes Agriculteurs (JA) et le Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne (MRJC) copilotent actuellement une étude dont l’objectif est de mieux connaître ces nouveaux agriculteurs, leurs besoins spécifiques ainsi que les initiatives existantes visant à les accompagner sur les plans de la formation, de l’accès au foncier et du financement.

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15:59 Publié dans Agriculteurs, Enseignement et recherche | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

15/05/2013

Le projet AvalFonio pour la valorisation du fonio en Afrique

Le fonio est une céréale minoritaire, jouant néanmoins un rôle important dans la sécurité alimentaire de la population d'Afrique de l'Ouest. Ses grains sont de taille particulièrement réduite, ce qui complique les étapes de transformation (surcroît de travail) et limite sa valorisation. Le projet AvalFonio, « amélioration de l'après-récolte et valorisation du fonio en Afrique » est coordonné par le CIRAD en partenariat avec cinq pays africains (Guinée, Burkina Faso, Mali, Sénégal et Burundi). Il a pour objectif de « mieux valoriser cette ressource par la mécanisation des techniques post-récolte et par l’accompagnement des processus d’innovation dans les petites entreprises de transformation ».

Faisant suite à deux autres projets, le projet AvalFonio (2013-2015) sera centré sur la mécanisation des étapes de récolte, le battage (pour séparer le grain de la tige), lavage et dessablage du fonio décortiqué, en associant les différents acteurs de la filière. Un autre axe de travail concerne l'amélioration de la qualité du fonio commercialisé, ce qui permettrait d'accroître la valeur ajoutée du produit transformé et de répondre au regain d'intérêt qu'il connaît actuellement dans les métropoles africaines, en raison de ses qualités nutritionnelles et gustatives. Cette céréale sans gluten pourrait également intéresser les marchés occidentaux. Les résultats de ce projet pourraient être transposés à d'autres « petites céréales » telles que l'éleusine.

Noémie Schaller, Centre d'études et de prospective

Source : CIRAD

14/05/2013

La résistance des insectes ravageurs s'accroît face aux cultures OGM dites Bt

Des chercheurs de l'université d'Arizona et du CIRAD ont analysé 77 études internationales portant sur la résistance des insectes ravageurs aux plantes OGM dites Bt, c'est-à-dire qui sécrètent une ou plusieurs toxines insecticides Bt (Bacillus thurigensis). La surface cultivée en plantes Bt est passée de 1,1 million d'hectares en 1996 à 66 millions en 2011, dont la moitié aux États-Unis. Les scientifiques ont analysé l'évolution de la résistance des insectes à ces toxines au cours des dernières années, ainsi que les facteurs pouvant ralentir l'apparition de résistances.

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15:53 Publié dans Environnement | Lien permanent | Tags : ogm |  Imprimer | | | | |  Facebook

13/05/2013

La nutrition animale s’engage dans une démarche d’approvisionnement durable

Coop de France Nutrition animale et le Syndicat national de la nutrition animale (SNIA) ont annoncé la création d’une plateforme commune de réflexion sur la durabilité des matières premières utilisées dans l’alimentation des animaux en France. Cette plateforme est constituée d’une quinzaine d’entreprises françaises d’aliments du bétail et se fixe pour objectif « d’identifier les critères de durabilité applicables aux approvisionnements de la filière française ».

Chaque année, les entreprises françaises de la nutrition animale transforment 21 millions de tonnes de matières premières en aliments pour animaux : 75% sont d’origine France, 19% d’origine de pays tiers et 6% de l’Union européenne. Les approvisionnements extérieurs concernent surtout les matières premières riches en protéines : d’après le SNIA, 40% sont importés et 78% des tourteaux importés proviennent du Brésil et d’Argentine.

Cette plateforme travaillera avec l’ensemble des parties prenantes de la filière (fournisseurs, éleveurs mais aussi ONG, consommateurs, pouvoirs publics, etc.) et devrait livrer ses premières conclusions d’ici la fin de l’année 2013.

Source : Coop de France / SNIA

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12/05/2013

La NASA finance un projet d'imprimante alimentaire

La NASA vient d'accorder une bourse de 125 000 dollars à l'entreprise texane Systems and Materials Research Corporation pour créer un prototype d'imprimante 3D permettant de créer des aliments du type pizzas ou biscuits au chocolat. Le projet consiste à utiliser diverses « cartouches » contenant sucres, protéines et autres particules gastronomiques élémentaires pour « imprimer » les plats.

L'objectif premier est de de nourrir les futurs astronautes des missions spatiales de longue durée. En effet, les « poudres » de l'imprimante à nourriture auront une durée de vie de trente ans, seront facile à doser pour apporter précisément les calories et nutriments nécessaires à l'organisme des astronautes et ne généreront aucun déchet. L'armée américaine pourrait également avoir recours à ce type d'imprimante pendant ses missions.

Source : NASA , Dossier de présentation du projet technique


 

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10/05/2013

Rapport de la Cour des comptes de l'Union européenne (CCUE) sur les aides aux IAA dans le 2nd pilier

L'aide de l'UE aux industries agroalimentaires (IAA) a-t-elle permis de manière efficace et efficiente d'accroître la valeur ajoutée des produits agricoles ? C'est le titre du rapport que la Cour européenne des comptes vient de publier à propos de la mesure dite « 123 A » du 2nd pilier de la PAC. La France (en particulier la région Rhône-Alpes) a fait partie des 6 programmes de développement rural audités à cet effet, avec l'Espagne, l'Italie, la Lituanie, le Portugal et la Roumanie.

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15:10 Publié dans 2. Evaluation, 4. Politiques publiques, IAA | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

07/05/2013

États-Unis : un rapport de l'USDA sur les systèmes de production « alternatifs » en bovins viande

Le service de recherche (Economic Research Service, ERS) de l'USDA a sorti un rapport sur les systèmes de production « alternatifs » en viande bovine. Mais qu'entend-on, aux États-Unis, par systèmes de production alternatifs ? Il s'agit en fait, dans ce rapport, des grands systèmes de production qui diffèrent de la production dite conventionnelle ou traditionnelle, c'est-à-dire des systèmes qui ne sont pas avec ateliers d'engraissement à base de grains riches en énergie et protéines (feed lots) pour lesquels l'objectif est la maximisation des gains en poids des animaux, dans un minimum de temps, au plus bas coût.

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15:06 | Lien permanent | Tags : etats-unis, élevage, bio |  Imprimer | | | | |  Facebook

Biofortification des céréales en Inde et lutte contre la malnutrition

Le gouvernement indien s'engage dans la lutte contre la malnutrition, et notamment les carences en nutriments, en investissant plusieurs dizaines de millions d'euros dans la biofortification. Dans ce pays où les deux tiers des enfants souffrent d'anémie et de déficience en vitamine A, il s'agit de promouvoir la culture de céréales enrichies en vitamines et minéraux, afin de mieux satisfaire les besoins nutritionnels des populations qui n'ont accès qu'aux céréales.

Pour cela, il est nécessaire de sélectionner des variétés naturellement riches en micronutriments (variétés anciennes mais aujourd'hui délaissées) ou d'en mettre au point de nouvelles (variétés hybrides). Plusieurs dizaines de milliers d'agriculteurs ont déjà adopté une variété de mil à forte teneur en zinc et en fer en 2012 et la tendance devrait se renforcer en 2013.

L'Inde réfléchit à l'intégration de céréales biofortifiées dans le système existant de distribution alimentaire publique, à la subvention des semences pour encourager leur mise en culture, et à l'accompagnement pédagogique à mettre en place au sein des villages.

Noémie Schaller, Centre d'études et de prospective

Source : Le Monde, « Révolution verte en Inde contre la malnutrition », 16 avril 2013

Communiqué de presse du Ministère des finances indien :

http://pib.nic.in/newsite/erelease.aspx?relid=92714

 

 

15:06 Publié dans Mondialisation et international, Sécurité alimentaire | Lien permanent | Tags : inde |  Imprimer | | | | |  Facebook

06/05/2013

Brésil : une augmentation record du prix des terres en dix ans

Une enquête sur le marché des terres au Brésil, réalisée par Informa Economics FNP, montre qu'entre 2003 et 2012 le prix moyen des terres agricoles a augmenté de 227%, presque le double du taux d'inflation. Cette augmentation serait liée à l’appétit des investisseurs dans le secteur agricole et en particulier :

- dans le secteur de la canne à sucre avec d'importants investissements au début des années 2000 et jusqu'à la crise de 2008 ;

- dans la production de soja et de maïs, depuis la hausse de prix de 2007-2008.

Le prix moyen à l'hectare pour l'agriculture, l'élevage et la foresterie, est ainsi passé de 2280 à 7470 dollars. De plus, cette moyenne peut masquer d'importantes disparités, la flambée des prix est particulièrement marquée dans la région de Sao Paolo, avec des prix à l'hectare pouvant atteindre les 41 000 dollars (prix relevé à Piracicaba pour des surfaces en canne à sucre), entraînant une paralysie du marché, notamment dans le Sud et le Sud-Est du pays, où les prix sont les plus élevés.

Les régions Centre, Centre-Ouest, Nord et Nord-Est du pays connaissent aussi une forte hausse, due à un coût de départ beaucoup plus faible de la terre, hausse qui devrait s'accentuer dans les années à venir, avec l'amélioration des infrastructures dans cette région où les gains de productivité pourront encore être très importants. Les prix des terres devraient donc encore augmenter dans les régions précitées, mais plus globalement à l'échelle du pays avec la volonté du gouvernement et du secteur agricole d'intensifier l'élevage (la concentration étant pour l’instant d’une seule tête de bétail par hectare), pouvant à terme impacter le prix des pâturages.

Cependant, dans l’ensemble du pays et en particulier dans les zones de production de céréales et d'oléagineux, on assiste depuis le début de l'année à une reprise des transactions foncières, montrant que les investisseurs ont su attendre et anticiper la baisse du marché, liée à la récolte record de 2013, après une année de prix particulièrement élevés en 2012.

Mylène Testut-Neves, Service économique régional de l’ambassade de France au Brésil

Céline Fabre, Centre d'études et de prospective

 

Sources : B de BRICS n°75 du 15 mars 2013

Informa Economics FNP, South America : Relatório de Análise do Mercado de Terrashttp://informaecon-fnp.com/publicacoes/2

15:04 Publié dans Mondialisation et international | Lien permanent | Tags : brésil |  Imprimer | | | | |  Facebook