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20/03/2013

Le marché des indications géographiques en Europe

Selon une étude financée par la Commission européenne, les ventes de produits agricoles européens sous IG (indications géographiques) se sont élevées à 54,3 milliards d'euros en 2010. Plus de la moitié (56%) de ce chiffre d'affaires correspond aux vins, 15% aux alcools et 30% aux autres produits agricoles et alimentaires (principalement les fromages, viandes, fruits et légumes). Les ventes de produits sous IG ont augmenté de 12% entre 2005 et 2010 en moyenne, et de 19% pour les produits agricoles et alimentaires hors vins et alcools en particulier.

Les ventes globales du secteur agroalimentaire européen étant estimées à 956 milliards d'euros en 2010, les produits sous IG en représentaient 5,7% à cette date.

Cette part est toutefois très variable selon les pays. C'est en France et en Italie qu'elle est la plus élevée :

Part des produits sous IG dans les ventes du secteur agroalimentaire de chaque pays

ig.jpg

Ces deux pays représentent en effet 60% des produits commercialisés en Europe sous IG. Le marché domestique représente le premier débouché de ces produits, avec 60% des ventes, les exportations (40%) étant réparties pour la moitié dans les autres pays européens et l'autre moitié dans les pays tiers.

Une comparaison des prix des produits sous IG avec leurs équivalents sans IG montre que les premiers sont vendus en moyenne plus du double, avec des variations selon les produits et les pays. Au total, le différentiel de valeur des produits sous IG représenterait près de 30 milliards d'euros dans l'UE.

 Céline Laisney, Centre d'études et de prospective

 Source : Commission européenne


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19/03/2013

Première conférence européenne pour une gestion durable du phosphore

Les 6 et 7 mars 2013 s'est tenue à Bruxelles la première conférence européenne dédiée au phosphore. Rassemblant chercheurs, industriels, associations et commissaires européens, elle visait à réfléchir collectivement à une gestion plus durable de cet élément minéral, éventuellement en créant un marché européen du phosphore recyclé.

Le phosphore est utilisé comme engrais et est indispensable à la croissance des plantes. Issu de roches sédimentaires de quelques pays dans le monde seulement (Maroc, Chine, États-Unis, etc.), il est non-renouvelable et, compte tenu de la forte augmentation de la demande, il constitue une ressource à préserver au niveau mondial. Le pic de phosphore devrait se produire avant 2040 selon une étude suédoise. Les nombreuses pertes qui surviennent dans toutes les étapes de l'utilisation du phosphore (extraction, production des engrais, utilisation agricole, etc.) causent par ailleurs d'importants dégâts environnementaux (pollution des eaux aux phosphates et eutrophisation par exemple).

Créer un marché européen du phosphore recyclé serait donc une piste pour améliorer l'utilisation de cette ressource non renouvelable, créer des débouchés industriels et préserver la qualité des eaux. Un livre vert du phosphore devrait être publié courant 2013 pour préciser les orientations européennes en la matière.

 Noémie Schaller, Centre d'études et de prospective

 Sources : http://www.phosphorusplatform.org/espc2013.html

http://www.actu-environnement.com/ae/news/marche-phosphor...

11:56 Publié dans Agronomie, Enseignement et recherche, Environnement | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

18/03/2013

Impact du changement climatique aux États-Unis

Le Comité consultatif national pour l'évaluation du changement climatique (National Climate Assessment and Development Advisory Committee - NCADAC) a publié une version provisoire de son troisième rapport sur le changement climatique et ses conséquences. Plus de 240 chercheurs et scientifiques ont contribué à la rédaction de ce document, qui recense de nombreux impacts déjà constatés, comme les changements inhabituels du climat apparus sur les côtes allant de la Floride au Maine.

Selon les prévisions, aux États-Unis, les étés seront plus longs et plus chauds (15 jours de chaleurs extrêmes en moyenne par an de plus d'ici le milieu du XXIe siècle par rapport aux années 1970-1980), et les hivers plus courts et plus chauds.

Si les périodes de croissance plus longues pour les cultures et l'élévation du niveau de dioxyde de carbone sont susceptibles d'augmenter les rendements de certaines cultures au cours des prochaines décennies, ces gains risquent d'être contrebalancés par l'apparition plus fréquente de vagues de chaleur, de sécheresses et d'inondations. À long terme, les contraintes combinées liées au changement climatique devraient ainsi diminuer la productivité agricole dans le Midwest.

Ce document est ouvert à un débat public pendant une période de trois mois et sera revu par les Académies nationales des sciences avant que sa version définitive ne soit publiée.

 Sources : ADIT ; NCADAC

 


 

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17/03/2013

À Madagascar, le changement climatique pourrait favoriser la production de riz pluvial

Des chercheurs du Cirad et de l'Institut agronomique malgache (le Fofifa) ont étudié les impacts possibles du changement climatique sur la productivité du riz pluvial des Hautes-Terres de Madagascar. Dans cette région montagneuse, ce sont en effet des variétés de riz adaptées aux basses températures qui sont cultivées, et aucune étude sur les effets du changement climatique n'existait jusqu'alors sur ces variétés.

Des données expérimentales recueillies pendant six ans et le modèle informatique Cerès-Riz ont permis de simuler les rendements du riz sur une période de 90 ans, de 2010 à 2099. Deux types de travail du sol, deux niveaux de fertilisation azotée et deux scénarios climatiques ont été testés. Dans le scénario optimiste, la croissance du riz pourrait être favorisée par une faible hausse des températures tandis que dans le scénario pessimiste, la forte hausse des températures et la réduction des précipitations pourraient engendrent un stress hydrique et pénaliser la production de riz.

Les résultats montrent d'une part qu'il n'y a pas de différence de rendement en fonction du travail du sol (labour manuel ou semis direct), l'efficacité d'utilisation de l'eau ou d'absorption de l'azote n'étant pas améliorée par le semis direct dans cette région à basses températures. D'autre part, la fertilisation azotée permet d'améliorer significativement les rendements car la disponibilité en azote est une contrainte majeure dans les sols des Hautes-Terres. Concernant le changement climatique, l'étude révèle un résultat surprenant : les rendements du riz sont nettement supérieurs dans le scénario climatique pessimiste. Ceci s'explique par une accélération de la floraison et de la maturation des grains due à la hausse des températures.

Malgré les limites de l'étude (non prise en compte des événements météorologiques violents, etc.), les chercheurs concluent que dans cette région froide où le riz est cultivé à la limite inférieure de sa tolérance à la température, une forte hausse des températures pourrait accroître sa production. Le processus inverse (chute des rendements) risque de se produire en Asie du Sud où le riz est cultivé à la limite supérieure de sa tolérance à la température.

 

Noémie Schaller, Centre d'études et de prospective

 Source : CIRAD 

Article : http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs13593-011-004...

11:45 Publié dans Agronomie, Climat, Enseignement et recherche | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

16/03/2013

Résultats de l'enquête de l'Institut de l'agriculture durable : « l'agriculture durable et vous »

En novembre 2012, l'Institut de l'agriculture durable (IAD), institut composé d'agriculteurs, d'agro-industriels et d'associations, a lancé une enquête en ligne sur la perception de l'agriculture durable. Les résultats de cette enquête, qui se veulent indicatifs et non statistiquement représentatifs, ont vocation à animer le débat sur l'avenir de l'agriculture française. Ils viennent d'être publiés sur le site Internet de l'IAD.

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11:44 Publié dans Agriculteurs, Environnement | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

15/03/2013

L'IFP et l'INRA vont collaborer sur la bioéconomie

L'Institut français du pétrole (IFP), Énergies nouvelles (IFPEN) et l'INRA viennent de signer un accord cadre de collaboration scientifique et technologique dans le domaine de la bioéconomie, comme l'indique un communiqué de presse publié par l'INRA. Le développement de celle-ci, qui désigne l'ensemble des activités économiques liées au développement de procédés et produits d'origine biologique, nécessite en effet des efforts accrus de recherche et d'innovation dans le domaine des biosciences.

Pour répondre à ces enjeux, IFPEN et l'INRA préconisent une nouvelle approche systémique prenant en compte, dans une même dynamique, l'ensemble des problématiques interdépendantes impliquant les parties prenantes, chercheurs, pouvoirs publics, industriels, société civile et consommateurs, depuis les questions d'approvisionnement en ressources et de concurrence entre usages de la biomasse jusqu'aux modes de consommation, en passant par la pertinence des technologies de rupture et les synergies entre les territoires, les systèmes de production agricoles et forestiers et les bioraffineries.

La collaboration entre les deux organismes de recherche vise à répondre aux enjeux nationaux d'orientation et de programmation de la recherche. Elle conduira à l'élaboration d'une feuille de route vers la bioéconomie. Cet agenda conjoint s'articulera autour de quelques axes : l’identification des domaines scientifiques et technologiques clés, des acteurs et des parties prenantes, en vue de propositions communes au niveau européen ; la définition des nouvelles chaînes de valeur et l’appréhension des processus d’innovation d’une manière transparente dans l’évaluation de leurs effets ; la proposition de programmes de recherche ou de démonstrations et d'actions de déploiement industriel à l'échelle des territoires.

En février dernier, la Commission européenne a elle-même adopté une stratégie d'innovation, assortie d'un plan d'action en faveur d'une bioéconomie à l’horizon 2020. « Horizon 2020 », le futur programme-cadre de recherche de la Commission, pourrait allouer 4,5 milliards d'euros aux actions de soutien dans ce domaine.

Source : INRA

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14/03/2013

Vers une agence nationale de la biodiversité ?

Un rapport de préfiguration d'une agence nationale de la biodiversité a été remis à la ministre de l'Écologie. La création de cette agence devrait être stipulée dans la future loi cadre biodiversité qui sera promulguée en 2013.

Si l'idée d'une agence de ce type n'est pas nouvelle, puisqu'un rapport de 2010 proposait la création d'une agence de la nature, le présent rapport propose de s'appuyer sur les nombreuses structures déjà existantes afin de créer un lieu permanent de concertation sur le thème de la biodiversité entre les différents opérateurs concernés.

Les rapporteurs proposent de confier à cette agence des missions de veille et de prospective plutôt que d'expertise, ce qui, pour ce qui concerne le fonctionnement, la rapprocherait plus de l'Institut de veille sanitaire que des agences sanitaires ANSES et ANSM. Elle devrait également jouer un rôle important en termes de communication auprès du grand public. Un autre objectif phare proposé est de passer du principe de sites dédiés au maintien de la biodiversité à la gestion sur le territoire national dans son ensemble.

Le rapport signale également la tenue des premiers États généraux pour la modernisation du droit de l'environnement en mai prochain.

 

Madeleine Lesage, Centre d'études et de prospective

 Source : Ministère de l'écologie


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12/03/2013

Recherche pour lutter contre le feu bactérien dans les vergers

Le feu bactérien provoqué par la bactérie erwinia amylarova est une menace pour la production de pommes et de poires aux États-Unis, d'après un article publié dans la revue scientifique The New Phytologist. Un traitement préventif à base d'antibiotique streptomycine est effectué dans ce pays, par pulvérisation sur les arbres en fleur au printemps (période de croissance rapide), de manière à inhiber la croissance du pathogène avant l'infection qui, elle, est irréversible.

Des études sont actuellement en cours au Julius Kuhn Institute (institut allemand de recherche sur les plantes cultivées), en collaboration avec l'université du Michigan, sur les bases génétiques de la résistance innée d'une variété de pomme sauvage à la bactérie erwinia amylarova. L'objectif de ces recherches est la mise en marché de pommes cultivées résistantes à la maladie.

En Europe, la Suisse, particulièrement touchée par cette contamination, a également recours aux antibiotiques pour contrôler cette maladie végétale et a mis en place un projet de recherche axé sur la sélection de variétés fruitières tolérant le feu bactérien.

Le feu bactérien a également été constaté en France, notamment dans le nord, en Aquitaine et dans les régions de la moitié ouest du pays. Il affecte davantage les poiriers. Le traitement antibiotique n'est pas autorisé mais d'autres mesures, essentiellement sanitaires, ont été mises en place afin de réduire les foyers et d'éviter leur extension.

La diminution progressive du recours aux antibiotiques pour traiter cette maladie végétale, qui n'a aucun impact sur la santé du consommateur, irait dans le sens de la lutte contre le risque mondial d'antibiorésistances.

 

Madeleine Lesage, Centre d'études et de prospective

 Source : The New Phytologist


11:41 Publié dans Enseignement et recherche, Sécurité alimentaire | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

11/03/2013

Deux scénarios pour l'avenir des campagnes

Dans un rapport remis en janvier 2013, deux sénateurs, Renée Nicoux (PS, Creuse) et Gérard Bailly (UMP, Jura) posent la question de L'avenir des campagnes. Deux scénarios sont dégagés. Le premier, « scénario noir du ''laissez-faire'' », entend prolonger les tendances actuelles. Le second, considéré comme plus vertueux, met en valeur la diversité des territoires, leur résilience, l'innovation et les nouvelles technologies.

Après les scénarios, le rapport dégage des pistes d'action transversales : rationalisation des mécanismes de gouvernance nationale et locale (notamment en réaffirmant le rôle pivot de la commune), implantation des services publics en zone rurale (santé, écoles), sanctuarisation des réseaux de transport, généralisation du haut débit pour les réseaux numériques à l'horizon 2022). S'agissant des leviers sectoriels, pour l'agriculture, le rapport appelle à renforcer la recherche agronomique et la formation des producteurs (soumis à des exigences économiques et environnementales accrues, ils doivent apprendre à diversifier leurs activités), à renforcer la politique d'installation (prêts à long terme), à soutenir les démarches de filières territorialisées (labels) et la coordination des efforts de promotion à l'étranger.

Outre l'intérêt de la vue d'ensemble des enjeux de l'aménagement du territoire et des propositions avancées, les comptes rendus d'auditions en annexe permettent de prendre connaissance rapidement des grands exercices de prospective des cinq dernières années.

 

Florent Bidaud, Centre d'études et de prospective

 

Sources : Rapport Nicoux-Bailly sur l'avenir des campagnes


13:33 Publié dans 1. Prospective, Territoires | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

10/03/2013

Des œufs végétaux

Une start-up américaine a conçu, en collaboration avec des chercheurs et des spécialistes de cuisine moléculaire, une poudre végétale (beyond eggs) qui peut remplacer les œufs dans des produits préparés destinés à la confection de pâtisseries ou de sauces industrielles Ces « œufs » seraient, selon leur producteur, sans cholestérol alimentaire, sans salmonelle, plus respectueux du bien-être animal et moins chers.

 Source : PSFK via La minute marketing / TNS Sofres

13:34 Publié dans 5. Fait porteur d'avenir, Alimentation et consommation | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

09/03/2013

Les premières « Indications géographiques protégées » d’Afrique

Le poivre du Penja, le miel d’Oku et le café Ziama-Macenta, trois produits issus de terroirs africains, sont les premiers à se voir décerner une Indication géographique protégée (IGP) par l’OAPI (Organisation africaine de la propriété intellectuelle).

La reconnaissance officielle des Indications géographiques est un enjeu important pour l’Afrique. Elle participe à la reconnaissance et la protection d’un patrimoine et représente un véritable levier économique.

Cette valorisation des produits, mise en oeuvre par l’OAPI avec l’AFD et le Cirad dans le cadre du Programme de renforcement des capacités commerciales (PRCC), permettra d’améliorer leurs capacités d’exportation, grâce également à une assistance technique institutionnelle et à un volet formation.

 Source : CIRAD

13:34 Publié dans Développement, Mondialisation et international | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

08/03/2013

Mesure des inégalités territoriales, un état des lieux

Le rapport Vers l'égalité des territoires, coordonné par Thierry Eloi en parallèle de la commission Wahl sur la modernisation des structures administratives de la politique d’aménagement du territoire, a été remis en février 2013 à Cécile Duflot, ministre de l’Égalité des territoires et du Logement.

Sur plus de 500 pages, il permet de nourrir les réflexions sur la décentralisation en donnant la parole à des chercheurs et experts avec, en contrepoint de chaque synthèse, les commentaires d'un élu. Les inégalités et ruptures territoriales (qui font l'objet de la première partie) posent des problèmes spécifiques de mesure et de cartographie (deuxième partie).

Les contributions de la troisième partie identifient et critiquent les outils de la justice territoriale, notamment les indicateurs de développement humain, les zonages et les mécanismes de péréquation.

 Florent Bidaud, Centre d'études et de prospective

Source :  Rapport Vers l'égalité des territoires 

13:35 Publié dans Territoires | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

07/03/2013

Plus de la moitié des chômeurs prêts à se reconvertir dans l'agriculture

Selon un sondage réalisé par OpinionWay pour le FAFSEA (Fonds d’assurance formation des salariés des exploitations et entreprises agricoles), plus de la moitié des demandeurs d’emploi interrogés se déclarent prêts à se reconvertir dans le secteur agricole. Parmi les demandeurs d’emploi urbains ou périurbains estimant qu’il est plus facile d’équilibrer sa vie professionnelle et sa vie personnelle en milieu rural, 79 % se disent prêts à déménager à la campagne si on leur y propose du travail. Enfin, 68% des sondés se déclarent ouverts à la multi-activité (pour occuper plusieurs emplois différents dans la même année dont un au moins comprenant une activité agricole).

Dans les faits, plusieurs dispositifs de formation permettent aux demandeurs d'emploi de se reconvertir dans ce secteur, comme l'ADEMA (Accès des Demandeurs d’Emploi aux Métiers Agricoles) qui a bénéficié à 3 000 demandeurs d’emploi en 2012 (contre 1 578 en 2010).

 

Source : FAFSEA

 

 

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06/03/2013

Un label pour les restaurants proposant des produits d'Ile-de-France

Un nouveau label, « Des Produits d’ici, cuisinés ici », initiative du CERVIA (Centre régional de valorisation et d'innovation agricole alimentaire), permet de repérer les restaurants qui intègrent dans leurs menus des produits issus de l'agriculture francilienne. Pour l'obtenir, les établissements doivent obtenir un minimum de 12 points sur les 20 critères de la charte.

Les 50 premiers restaurants ont été labellisés et peuvent afficher le label sur leur devanture :

labelrestoIDF.JPG

 

 

Source : Cervia

 

 

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05/03/2013

Lancement d'un biscuit anti-stress

La biscuiterie Poult, les laboratoires Pierre Fabre et la PME Vegeplast, spécialiste des emballages, se sont associés dans un projet de recherche pour lancer le premier biscuit « anti-stress ». « Acti biscuit » est un complément alimentaire à base de plantes qui devrait être distribué dans les rayons des pharmacies et parapharmacie à partir de 2015. L'investissement, qui s'élève à 1,7 million d'euros, est en partie financé par le Conseil régional de Midi-Pyrénées et les fonds européens.

 

Source : Les Échos, 14 mars 2013.

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