03/12/2014
L'approche génomique à haut débit offre de nouvelles pistes aux produits biosourcés
Une seule bactérie, Clostidium phytofermentans, est au cœur des récents travaux publiés par les chercheurs du Génoscope associés à l'université d'Evry et au CNRS. L'intérêt pour ce micro-organisme tient à sa capacité de dégrader une grande diversité de polysacharides en éthanol et hydrogène, grâce à une batterie d'enzymes. Le recours à la génomique à haut débit a permis d'identifier 171 enzymes et de mieux comprendre les mélanges enzymatiques nécessaires à cette dégradation. Cette découverte représente de nouvelles pistes d'applications pour la transformation de la biomasse végétale par voie enzymatique en vue de créer des produits biosourcés.
Source : PLOS Genetics
14:40 Publié dans 5. Fait porteur d'avenir, Biomasse/Biocarburants, Enseignement et recherche | Lien permanent | Tags : bioéconomie | Imprimer | |
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