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29/09/2011

Incendies de forêts et biodiversité

L'apparition de nouvelles plantes dans un parc forestier australien ravagé par le feu en 2009 remet en question les connaissances sur les réactions des écosystèmes face aux incendies. Selon un article du New Scientist, une étude de recensement menée depuis 2 ans sur 330 000 hectares a ainsi montré que les incendies de forêts permettent à des graines enterrées ou endormies de se développer et attirent de nouvelles plantes. A leur tour, ces nouvelles plantes attirent de nouvelles populations d'oiseaux.
La durée de vie de ces nouvelles plantes est toutefois incertaine; certaines, apparues dans l'année qui a suivi l'incendie, ont déjà commencé à décliner.

Fabienne Portet, Centre d'études et de prospective

11:04 Publié dans Environnement, Forêts Bois | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

22/09/2011

Achats de terres à l'étanger

Oxfam a sorti un nouveau bilan sur les investissements fonciers internationaux où il avance que dans les pays en développement, 227 millions d’hectares, soit la superficie de l’Europe de l’Ouest, ont été vendus ou loués depuis 2001, principalement à des investisseurs internationaux. La majeure partie de ces opérations ont eu lieu ces deux dernières années, selon une étude menée actuellement par le Land Matrix Partnership.

Le rapport présente une analyse d’ensemble avant de présenter des cas précis dans 5 pays (Ouganda Sud Soudan, Indonésie, Guatemala et Honduras).

10:31 Publié dans Développement, Mondialisation et international | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

15/09/2011

Impact du verdissement de la PAC sur la biodiversité

L'agence de l'environnement des Pays-Bas, en collaboration avec l'Université de Wageningen a récemment publié un rapport étudiant l'impact du verdissement de la PAC post-2013 sur la biodiversité des espaces agricoles dans l'Europe à 27.

Les auteurs mettent en évidence un ralentissement de la perte de biodiversité, principalement dans les zones d'agriculture intensive, les zones extensives riches en biodiversité étant déjà mieux prises en compte par les politiques publiques existantes. Ces résultats présentent cependant de forte variations régionales suggérant qu'un ciblage plus adapté des politiques pourrait permettre d'atteindre un meilleur résultat encore.

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14:29 Publié dans 2. Evaluation, 4. Politiques publiques, Environnement, PAC | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

Audit de la PAC par la Cour des Comptes européenne

La Cour des Comptes de l'Union européenne réalise des audits comptables des comptes de la Commission européenne, mais aussi des audits de performance conduisant à la publication de rapports spéciaux relatifs à des sujets variés. En 2011, la Cour des Comptes a prévu de nombreux travaux en lien avec la Politique agricole commune, la part de celle-ci dans le budget communautaire étant effectivement importante.

 On peut citer a titre d'exemple les objectifs suivants :

  • déterminer si le soutien en faveur des jeunes agriculteurs et des retraités anticipés est efficace ;
  • déterminer si l'aide en faveur des organisations de producteurs est efficace;
  • déterminer si les mesures prises par la Commission pour réduire les émissions de gaz à effet de serre sont efficaces.

 Mais de nombreux autres points vont être abordés : mesures agro-environnementales ; investissements dans les exploitations agricoles ; mesures visant l'accroissement de la valeur ajoutée des produits agricoles et sylvicoles, etc. Il s'agit également de dispositifs du premier pilier : paiements uniques ; aides directes au secteur animal ou encore des réformes de l'OCM viti-vinicole, de la distribution de lait et de fruits aux écoliers.

Voir le programme de travail de la Cour des Comptes

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11:14 Publié dans 2. Evaluation, 4. Politiques publiques, PAC | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

Le gouvernement brésilien veut doper le secteur du bio

 Le ministère de l’agriculture brésilien affiche l’objectif gouvernemental de doubler la production «biologique» d’ici 2015. Aujourd’hui, 13 000 producteurs font l’objet d’une certification leur permettant d’utiliser le label «produto organico» en place depuis le 1er janvier 2011, sur les 90 000 producteurs estimés. Les 77 000 restants s’«autocontrôlent», ce qui leur permet néanmoins d’utiliser le qualificatif «organico» ou «sans agrotoxiques». Ceci conduit d’ailleurs à prendre avec précaution le chiffre de 1,8 million d’hectares en cultures biologiques au Brésil qui apparaît régulièrement. Alors que la croissance de la consommation était de 40% par an ces dernières années, elle pourrait être moindre cette année, si ne sont comptabilisés que les produits certifiés : ainsi, Pão de Açucar (premier distributeur au Brésil) estime que son chiffre d’affaires sur les produits biologiques ne devrait augmenter que de 15% en 2011.

 

Jean-Guillaume Bretenoux

Conseiller agricole au Service Economique Régional de Brasilia

10:59 Publié dans 4. Politiques publiques, Environnement | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

14/09/2011

Perspectives de l’aquaculture

Afin d’évaluer les perspectives de l’aquaculture, le Département des pêches et de l’aquaculture de la FAO a réalisé une enquête Delphi. Cette méthode de consultation d'experts est un moyen d’identifier les contraintes à l'expansion de l’aquaculture ainsi que d’éventuelles opportunités. Elle a également permis d’évaluer les différentes politiques possibles pour accomplir ce changement.

aqua.jpg

Les experts dans les pays d’Amérique latine et des Caraïbes se sont montrés particulièrement optimistes quant aux opportunités pour une ultérieure expansion de l’aquaculture dans leur région. Possédant une abondance de ressources naturelles primaires et une demande en produits halieutiques suffisante, leur souci majeur était la pénurie de fonds et de capacités humaines. D’autres régions telles que l’Europe de l’Est étaient moins optimistes du fait de problèmes avec les espèces ou avec des facteurs externes, tels que l’attitude négative du public envers l’aquaculture. Cependant, il a été reconnu dans toutes les régions que l’aquaculture devrait être encouragée. Les raisons à l’appui de cette affirmation étaient la contribution de l’aquaculture à la sécurité alimentaire et à la réduction de la pauvreté ainsi que son rôle dans la réduction de la pression exercée sur les populations naturelles de poissons.

Des annexes détaillent les différentes contraintes par région, et les stratégies correctives à mettre en place.

15:17 Publié dans 1. Prospective, 4. Politiques publiques, Pêche et aquaculture | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

13/09/2011

Rapport d'évaluation sur l'efficacité de l'aide au développement

La Déclaration de Paris a été signée en 2005 par des pays receveurs et bailleurs de l'aide au développement (dont la France) afin d'en améliorer l'efficacité. Cinq années après, une équipe d'évaluateurs indépendants a rendu son rapport visant à mesurer la contribution de la Déclaration à rendre l'aide au développement plus efficace.

L'évaluation visait à répondre aux trois questions évaluatives suivantes :

  1. Quels sont les facteurs qui ont façonné et limité la mise en œuvre des réformes préconisées par la déclaration et quels en ont été les effets ? (le contexte de la mise en œuvre de la déclaration de Paris)

  2. Est-ce que la mise en œuvre de la déclaration a permis d'améliorer l'efficacité de l'aide, la gestion et l'utilisation de l'aide ainsi que les partenariats ? Et de quelle manière ? (résultats relatifs à l'efficacité de l'aide)

  3. Est-ce que la mise en œuvre de la déclaration a contribué à obtenir des résultats durables en matière de développement ? (contribution aux résultats sur le développement)

 Le très volumineux rapport est constitué de 22 études de cas nationales dans des pays en développement et des pays bailleurs ayant signé la Déclaration de Paris. D'autres études transversales viennent compléter l'analyse, y compris un focus dans tous les pays participants sur le secteur de la santé. Si le résumé exécutif du rapport d'évaluation donne un résultat d'ensemble plutôt mitigé sur l'impact de la déclaration de Paris sur l'efficacité de l'aide au développement, l'analyse des études de cas nationales devrait pouvoir mettre au jour des leçons et bonnes pratiques utiles pour la communauté du développement.

 A noter également que cette évaluation a fait l'objet d'une vérification indépendante par un évaluateur qui ne faisait pas partie de l'équipe d'évaluation ni du comité de pilotage de l'évaluation afin d'en asseoir l'indépendance. La méthode participative de ce chantier a permis aux partenaires du développement de s'approprier une méthode rigoureuse afin d'analyser leurs actions et décisions qui restent avant tout d'ordre politique.

 Jo Cadilhon

Centre d'études et de prospective

11:04 Publié dans 2. Evaluation, Développement | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

12/09/2011

États-Unis : plan d'investissement dans les biocarburants

Le président Obama a annoncé un plan d'investissement de 510 millions de dollars sur trois ans pour développer les biocarburants de seconde génération dans le transport aérien et maritime commercial et militaire. Ce plan doit associer les ministères de l'énergie, de l'agriculture et de la marine au secteur privé dans le cadre d'un partenariat public / privé.

Il fait partie de la stratégie dévoilée par le gouvernement en mars 2011, Blueprint for A Secure Energy Future, qui vise à réduire la dépendance énergétique étrangère. Les États-Unis importent en effet pour 300 milliards de dollars de pétrole par an.

16:39 Publié dans 4. Politiques publiques, Biomasse/Biocarburants | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

11/09/2011

Démocratisation des produits bio

La consommation de produits issus de l'agriculture biologique, qui était réservée auparavant aux plus aisés, touche désormais les catégories les plus modestes, selon le Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie).

Ainsi, 52 % des personnes disposant de moins de 900 euros par mois consomment aujourd'hui des produits bio, contre 20 % en 1995, d'après les Enquêtes « Conditions de vie et Aspirations ».

Et 60 % des jeunes achètent de temps à autre ce type de produits, alors qu'ils n’étaient que 26 % il y a quinze ans.

Les acheteurs réguliers ou occasionnels de produits bio se recrutent néanmoins toujours en plus grand nombre dans les catégories les plus aisées.

La préoccupation pour l’environnement n’est pas la seule explication de l’essor de ces produits, qui jouissent aussi d’une image positive pour la santé et pour le goût. L’augmentation de l’offre en rayon et la bonne identification du label AB facilitent aussi cet engouement.

La progression des ventes bio est d’autant plus notable que la hausse des prix des denrées alimentaires et l’augmentation du coût du logement ont renforcé, ces dernières années, les contraintes budgétaires des Français.

17:23 Publié dans 5. Fait porteur d'avenir, Alimentation et consommation, Environnement | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

Impacts des changements climatiques sur la croissance végétale

Une équipe de scientifiques danois du consortium CLIMAITE («Climate change effects on biological processes in terrestrial ecosystems»), dont l'objectif est d'étudier la façon dont les fluctuations climatiques affectent les processus biologiques et les écosystèmes naturels, a publié ses résultats dans la revue Global Change Biology.

Ils montrent que, malgré une augmentation prévue en termes de croissance végétale due à la quantité accrue de CO2 dans l'atmosphère, lorsque l'on ajoute à cette équation la hausse de températures et la sécheresse estivale, la croissance végétale s'en trouve limitée.

Ainsi, ces résultats sont en contraste avec les découvertes scientifiques précédentes montrant que les taux élevés de CO2 dans l'atmosphère favoriseraient la croissance végétale.

Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques du consortium CLIMAITE ont mené une expérience sur le terrain au Danemark. Les résultats de l'article couvrent les années 2006-2007, et l'expérience se poursuivra jusqu'en 2014.

Source : Cordis

15:41 Publié dans Climat, Enseignement et recherche | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

05/09/2011

Carte de la restauration collective bio

La FNAB, en partenariat avec le MAAPRAT et avec l’Agence Bio, a créé un espace de recueil d’expériences sur les produits bio locaux en restauration collective, sous forme de carte de France interactive.

restobio.jpg

Celle-ci permet de localiser les initiatives et leur type (cantine scolaire, d’entreprise, d'hôpital, etc).

Une fiche détaillée par établissement permet de faire un point sur la manière dont le projet a été mis en place : les moyens mis en œuvre, les produits utilisés, retour des consommateurs, projets pour l’avenir, difficultés rencontrées, etc.

Son objectif est de faciliter les démarches pour manger bio local en restauration collective, en permettant à tout porteur de projet d’accéder à une fiche d’expérience correspondant le plus possible à ses caractéristiques propres.

Cet outil de mutualisation et d’essaimage ne se veut pas exhaustif, mais vise à refléter la diversité des projets mis en œuvre sur les territoires.

11:53 Publié dans 5. Fait porteur d'avenir, Alimentation et consommation, Environnement | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

04/09/2011

Un réseau social pour le développement agricole

Selon l'Observatoire des usages Internet de l'institut Médiamétrie, l'Hexagone compte plus de 20 millions d'inscrits à un site communautaire. À l'occasion de ses 20 ans, l'association Trame (association nationale de développement agricole et rural) a lancé le réseau social du développement agricole : Pardessuslahaie.net.

Il devrait permettre de partager plus vite et plus loin les innovations. Les agriculteurs et leurs conseillers pourront y présenter leurs actions, diffuser les résultats d'expérimentations et d'études, présenter leurs idées, partager leurs innovations, etc.

Ce réseau social est à la disposition de tous les acteurs du développement agricole. Il a pour vocation d'être un outil collaboratif qui « permettra de se mettre en relation avec d'autres salariés agricoles ou des agriculteurs, mais aussi avec des passionnés de leur production partout en France, de participer à des forums, d'avoir accès à des informations pointues que d'autres collègues voudront partager ».

15:56 Publié dans 5. Fait porteur d'avenir | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

02/09/2011

Les "points chauds" du changement climatique

Le CGIAR (Consultative Group on International Agricultural Research) a produit une étude localisant les «points chauds -hotspots- du changement climatique et de l’insécurité alimentaire» futurs.

Rédigée par une équipe de scientifiques dans le cadre du programme de recherche du CGIAR sur le changement climatique, l’agriculture et la sécurité alimentaire (CCAFS), l'étude croise en effet les endroits susceptibles d'être les plus impactés par le changement climatique avec ceux qui souffrent d'ores et déjà de pénuries alimentaires chroniques.

En analysant plusieurs modèles climatiques et des indicateurs d'insécurité alimentaire, les chercheurs ont identifié des zones de grande vulnérabilité et créé une série de cartes détaillées (cliquer pour agrandir).

hotspots.png


L’une de ces cartes montre ainsi quelles régions du monde risquent de franchir un « seuil climatique » – comme des températures trop élevées pour la culture du maïs et du haricot – qui pourrait affecter la production agricole des quarante prochaines années.

Ces « hotspots » sont principalement situés en Afrique et en Asie du Sud, mais la Chine et l’Amérique latine pourraient également être concernées. Dans moins de 40 ans, la saison agricole de ces régions sera plus courte, plus chaude et plus sèche, mettant en danger des centaines de millions de personnes déjà très démunies.

Cette étude répond à un besoin urgent de concentrer les efforts d’adaptation au changement climatique sur les populations et les régions dont la production agricole et la sécurité alimentaire sont particulièrement menacées par l'évolution du climat.

10:25 Publié dans Climat, Sécurité alimentaire | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

01/09/2011

DuALIne : Durabilité de l’alimentation face à de nouveaux enjeux

Le rapport de l’exercice de réflexion duALIne, pour une alimentation durable dans les pays développés et en développement, est disponible en ligne. Ces travaux, conduits par l’Inra et le Cirad, ont réuni pendant 18 mois, dès novembre 2009, des acteurs publics, privés et des chercheurs pour dresser un état des lieux des connaissances sur les points clefs de l’alimentation, au regard de ses impacts sur l’environnement, la santé, l’économie et la société, dans un contexte de changements globaux. Ces résultats, mis en débat lors d’un colloque tenu le 29 mars 2011, ont identifié des besoins de recherche nouveaux.

La consommation alimentaire et ses évolutions à moyen et long termes, la qualité nutritionnelle et son impact carbone en France, les procédés de transformation et la logistique des systèmes alimentaires industriels, le lien entre urbanisation et durabilité, l'importance des pertes et gaspillages, le rôle de la volatilité des prix et des normes et standards privés ou publics, sont les différentes questions abordées dans les chapitres de ce rapport.

Le chapitre 9 comporte une exploration prospective.

Enfin, le denier chapitre traite des méthodes d'évaluation de la durabilité.

 

14:25 Publié dans Alimentation et consommation, Energie, Environnement, Sécurité alimentaire | Lien permanent |  Imprimer | | | | |  Facebook

Guide pour l'analyse de risque environnemental

L'EFSA vient de faire paraître un guide très documenté pour organiser une analyse de risque et décider d'entreprendre ou non une lutte contre des organismes envahisseurs et parasites des plantes.

Ce document utilise largement les probabilités et les tableaux de décision. L'évaluation du risque repose sur plusieurs questions, comme les habitats qui pourraient être colonisés et leur intérêt écologique, l'importance des conséquences sur la biodiversité causées par l'envahisseur dans la zone envahie, la vitesse du possible déclin des espèces indigènes à cause de l'invasion, etc.

Les mêmes questions sont répétées pour l'ensemble de la biodiversité territoriale, les conséquences génétiques, etc. Intervient alors un chiffrage des dommages pour les produits des zones envahies (alimentaires, production de bois, ressources génétiques, médecines naturelles, et ressources d'eau douce) et des dommages à l'environnement (qualité de l'air, influence sur le climat, cycle de l'eau, érosion et cycle du sol, photosynthèse, pollinisation et équilibre des populations de ravageurs et de maladies). Ne sont pas oubliés les avantages possibles liés aux envahisseurs.

 Enfin sont abordés les méthodes de lutte. Les méthodes détaillées sont d'ordres physique et mécanique ou biologique (introduction des ennemis naturels dans l'environnement comme l'a fait l'ONF pour la Vigne Marronne à La Réunion), biochimique (pièges à hormones, phéromones, répulsifs, etc.) contrôle génétique avec des mâles stériles et tous les instruments pour empêcher le passage des pestes des zones cultivées aux zones naturelles.

Le document renvoie à un travail antérieur du panel de l'EFSA sur les mesures concernant les zones cultivées et les produits importés, dont il complète de façon très pratique les arbres de décision. Ces deux documents donnent un arsenal scientifique de réflexion et de décision nécessaire à l'application de la directive du Conseil 2000/29 qui décrit « les mesures de protection contre l'introduction dans la Communauté d'organismes ravageurs des cultures ou de leurs produits et contre leur diffusion en Europe ».

Annie Soyeux, Centre d'études et de prospective

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