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Système alimentaire mondial à l'horizon 2045 : prospective de l'IPES-Food

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Après une série de travaux comprenant analyses thématiques, études de cas et recommandations politiques, le think tank IPES-Food publie avec ETC Group sa première prospective du système alimentaire mondial à l'horizon 2045. Ses auteurs se sont appuyés sur un groupe consultatif de 21 membres (société civile, institutions multilatérales, scientifiques, etc.). On y découvre deux scénarios contrastés, ou plutôt deux visions du monde irréconciliables, qui placent le lecteur à la croisée des chemins pour l'inciter à agir. Le scénario tendanciel y joue le rôle d'une « dystopie-repoussoir », à la façon d'un « scénario de l'inacceptable » en version agroalimentaire : face à l'aggravation des crises économiques, climatiques et environnementales, et à l'instabilité sociale chronique, les entreprises de la Big Tech prennent le pouvoir sur les chaînes de valeur agroalimentaires et en deviennent les acteurs ultra-dominants. Cette « Agro Big Tech » d'un nouveau genre propose aux décideurs politiques aux abois des solutions clefs en main fondées sur le « solutionnisme technologique » : géo-ingénierie climatique, agriculture automatique pilotée par l'intelligence artificielle, etc. Les agriculteurs deviennent de « simples cultivateurs » exécutants, tandis que les consommateurs, noyés sous une « infobésité » généralisée, voient leurs comportements dictés par les algorithmes.

Face à ce péril dystopique, la société civile constitue, pour les auteurs, la seule force capable de bâtir un autre avenir. Elle lutte sur tous les fronts contre le pouvoir dominant de l'Agro Big Tech, selon des voies et des opportunités promues et explicitées dans le rapport à la façon d'un programme d'action. Dans ce deuxième scénario, l'agro-écologie démontre petit à petit sa supériorité technique sur les solutions hyper-technologiques, grâce à sa plus grande résilience et son adaptabilité aux conditions locales. La société civile s'organise plus efficacement, en multipliant les organes de délibération, en faisant pression sur les organisations internationales, en utilisant les technologies numériques de façon ouverte, transparente, en s'engageant dans la réflexion prospective, etc.

Se situant entre prospective et programme d'action collective, le rapport de l'IPES-Food place résolument la question des rapports de force au premier plan de l'analyse. Par le fort contraste des scénarios, il met aussi l'accent sur les risques en germes dans certaines tendances actuelles, si celles-ci étaient poussées à l'extrême.

Julien Hardelin, Centre d'études et de prospective

Source : IPES-Food

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13/05/2021 | Lien permanent

Stephen K. Wegren, Frode Nilssen (coord.), Russia's Role in the Contemporary International Agri-Food Trade System, Palgr

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Depuis le début des années 2000, la place de la Russie dans les échanges alimentaires internationaux connaît d'importantes évolutions. Si le pays demeure un des principaux importateurs mondiaux de produits agricoles et alimentaires, avec près de 30 milliards de dollars en 2020, le développement de certaines productions lui a permis, en parallèle, de redevenir un exportateur majeur. Cet ouvrage, qui rassemble les contributions d'une dizaine de chercheurs, analyse ce phénomène afin d'en identifier les causes et perspectives d'évolution.

Le document comporte deux parties. La première étudie les évolutions du commerce agricole et alimentaire russe, à travers une mise en perspective historique (chapitre 1) et l'analyse de la montée en puissance du pays comme exportateur de céréales (chapitre 2, voir à ce sujet un précédent billet) et de produits de la mer (chapitre 5). Cette partie met également en évidence le rôle des politiques de sécurité alimentaire des années 2010 et 2020 (protectionnisme, substitutions aux importations), décidées en réponse aux sanctions européennes, dans le développement renouvelé de la puissance agricole russe (chapitre 4). Enfin, elle montre que les exportations agroalimentaires du pays ont augmenté, mais que leur contribution à l'économie nationale demeure marginale. En 2016, elles ne représentaient que 5 % du total des exportations, contre 19 % pour le gaz et le pétrole (chapitre 3).

La deuxième partie analyse la place de la Russie dans le commerce agroalimentaire de la région eurasiatique. Le chapitre 7 met en exergue les relations bilatérales entretenues avec la Chine et montre les intérêts réciproques des deux pays en faveur d'une coopération agricole et alimentaire renforcée. En effet, la Chine est un débouché prometteur et d'ores et déjà important pour les productions agroalimentaires de l'Extrême-Orient russe, principalement des produits de la mer et des oléagineux. Elle est aussi un partenaire financier majeur, susceptible d'appuyer le développement agricole de cette région, préoccupation de longue date des autorités russes. Pour la Chine, le développement de ces échanges s'inscrit dans une volonté de diversification des sources d'approvisionnement, le pays étant largement dépendant des importations pour son alimentation.

Mickaël Hugonnet, Centre d'études et de prospective

Lien : Springer

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16/12/2021 | Lien permanent

Arte signe une websérie documentaire mettant en lumière la tendance fast-food

Arte propose, dans sa collection de programmes contemporains Arte Creative, une série documentaire dénommée « Fast and Good, la révolution street-food », disponible librement au visionnage en ligne. Issue d'une collaboration entre le réalisateur N. Fernandez Brédillard et le guide gastronomique Fulgurances, ces 7 épisodes de 5 minutes explorent l'univers de la cuisine fast-food, en France et à l'étranger, sous le regard croisé de différents chefs et experts (Bon Appétit, Le Fooding).

Capture d'écran de l'une des vidéos de la websérie Fast and Good

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Source : Arte

La cuisine de rue de demain est ainsi repensée, avec pour défi l'équilibre fragile entre la qualité gustative et nutritionnelle des produits (Fast-Good), la praticité de l'offre, la forte demande, et l'attente d'un prix bon marché. La série pointe également le défi que constitue la proposition d'une street-food à la française, l'offre actuelle reposant principalement sur des influences américaines et asiatiques.

Source : Arte

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02/07/2018 | Lien permanent

Vers une politique alimentaire commune pour l'Union européenne : les propositions d'IPES-Food

Dans son nouveau rapport, fruit de trois ans de travail associant un large éventail d'experts et de parties prenantes, le panel international IPES-Food se fait l'avocat d'une politique alimentaire commune pour l'Union européenne (UE), seule à même, selon les auteurs, de répondre aux défis actuels : santé, environnement, inégalités d'accès à l'alimentation, etc. Partant d'un constat chiffré sur les limites d'un système alimentaire dit « low cost » (produire en masse à bas prix), le rapport propose une refonte totale des politiques en la matière, avec cinq objectifs : 1) « garantir l'accès à la terre, à l'eau et à des sols en bonne santé » ; 2) « reconstruire des agroécosystèmes sains et résistants au changement climatique » ; 3) « promouvoir une alimentation suffisante, saine et durable pour tous » ; 4) « mettre en place des chaînes d'approvisionnement plus équitables, plus courtes et plus propres » ; 5) « mettre le commerce au service du développement durable ».

Les cinq objectifs d'une politique alimentaire commune

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Source : IPES-Food

Ces cinq objectifs sont déclinés en mesures concrètes, certaines à court terme : consacrer au moins 50 % des financements de l'UE au développement rural, exonérer les fruits et légumes de TVA, réformer les évaluations d'impact sur le développement durable des accords de libre-échange, etc. D'autres seraient à adopter à plus long terme, comme par exemple : réserver tous les paiements de l'actuelle PAC à la fourniture de biens publics ; adopter une directive européenne restreignant le marketing des produits à forte teneur en matières grasses, en sel ou en sucre, et des aliments hautement transformés ; mettre en place une taxe carbone aux frontières (produits importés).

Message clé du rapport, la gouvernance actuelle n'est pas, en l'état, en capacité d'assurer la transition vers cette nouvelle politique, en raison du poids des lobbies, de la prise en compte insuffisante des expérimentations locales (ex : politiques alimentaires des villes), et des incohérences entre politiques sectorielles conçues et appliquées en silos. IPES-Food propose donc des mesures pour une gouvernance rénovée, étape nécessaire pour conduire le changement vers cette nouvelle politique alimentaire commune promue par les auteurs. Soulignons enfin que ce rapport fait suite à d'autres publications du groupe d'experts sur des thématiques liées : transition écologique, politiques alimentaires urbaines, nouvelle science des systèmes alimentaires durables.

Julien Hardelin, Centre d'études et de prospective

Source : IPES-Food

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12/03/2019 | Lien permanent

Stephen C. Wegren, Frode Nilssen, Russia's Role in the Contemporary International Agri-Food Trade System, Palgrave Macmi

agrifood system.JPGCe livre récemment publié, coordonné par deux chercheurs américain et norvégien, revient sur l'évolution récente de l'agriculture russe et sur le nouveau positionnement géostratégique du pays dans le système agroalimentaire mondial.

Dans une première partie, les auteurs retracent les politiques et conditions économiques ayant permis à la Russie de devenir, en une quinzaine d'années, un acteur de premier plan sur les marchés des grains et des produits de la mer. Pour la pêche, la politique mise en œuvre visait à atteindre une couverture de 80 % des besoins nationaux par la production nationale. Elle s'est traduite par la mise en place de contrôles sur les échanges, d'entraves diverses aux activités des compagnies étrangères et d'incitations aux chantiers navals russes pour renouveler la flotte. Dans une deuxième partie, l'évolution des relations commerciales régionales est analysée, en particulier avec la Chine, le Moyen-Orient, l'Afrique du Nord et les États-Unis, la Russie ayant inversé la situation et les rapports de force en devenant un fournisseur incontournable et en réduisant sa propre dépendance.

Source : Palgrave Macmillan

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19/04/2022 | Lien permanent

Land Use and Food Security in 2050: a Narrow Road. Agrimonde-Terra, Chantal Le Mouël, Marie de Lattre-Gasquet, Olivier M

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Paru en septembre 2018, en version anglaise uniquement, l'ouvrage Land Use and Food Security in 2050: a Narrow Road. Agrimonde-Terra présente de façon détaillée la démarche, les méthodes et les résultats de l'exercice prospectif éponyme conduit par l’Inra et le Cirad. Ayant mobilisé environ 80 experts internationaux au sein de multiples ateliers thématiques, l'étude avait pour objectifs d'analyser et d'explorer les déterminants des changements d'usage des sols aux niveaux mondial et régional, les évolutions à attendre en matière de surfaces agricoles, et les grands enjeux relatifs à la sécurité alimentaire à l'horizon 2050.

La démarche prospective a porté sur le système « usage des sols - sécurité alimentaire », influencé par cinq variables directes (systèmes de culture, d'élevage, forestiers, structures des exploitations agricoles, relations rural-urbain) et trois variables exogènes (contexte global, climat, régimes alimentaires). La combinaison des hypothèses d'évolution de ces variables a donné lieu à la production de cinq grands scénarios (voir à ce sujet un précédent billet sur ce blog) : trois scénarios tendanciels (« métropolisation », « régionalisation », « ménages ») et deux scénarios de rupture (« qualité des aliments et santé », « communautés rurales dans un monde fragmenté »). La narration de ces scénarios est enrichie de simulations chiffrées (cf. figure) issues de l'outil « GlobaAgri-AgT », un modèle d'équilibre utilisation-ressources de la biomasse mondiale développé par la plateforme GlobAgri Cirad-Inra, regroupant les commodités agricoles en 33 catégories, à partir des données de Faostat.

Changements d'usage des sols au niveau mondial entre 2010 et 2050 selon différents scénarios (millions d'hectares et % d'évolution)

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Source : Éditions Quæ

Au-delà des scénarios eux-mêmes, l'ouvrage est riche d'une revue de littérature des prospectives par scénarios menées sur ce thème (chapitre 4), d'une synthèse rétrospective des grandes tendances (chapitre 5), et d'un focus régional sur l'Afrique subsaharienne (chapitre 15). Au total, si tous les scénarios conduisent à une augmentation de l'usage agricole des terres, seul le scénario « santé » se révèle capable d'assurer la sécurité alimentaire mondiale à l'horizon 2050. Analysant en détail le rôle des technologies, du commerce et d'autres facteurs, les auteurs concluent en dégageant un ensemble d'options de politiques publiques, certaines valables dans tous les scénarios, d'autres spécifiques à chacun d'entre eux.

Julien Hardelin, Centre d'études et de prospective

Source : Éditions Quæ

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09/10/2018 | Lien permanent

Le distributeur Whole Foods prévoit l’étiquetage obligatoire des produits OGM vendus d’ici à 2018 aux Etats-Unis et au C

La chaîne de distribution Whole Foods a annoncé qu’à l’horizon 2018, tous les produits contenant des OGM vendus dans ses magasins, aux États-Unis et au Canada, devraient être étiquetés comme tels. Il s’agit de la première chaîne de distribution américaine à poser ainsi une échéance pour la labellisation des produits contenant des OGM.

Le directeur de Whole Foods souhaiterait pouvoir exiger l’étiquetage de la viande ou des produits laitiers issus d’animaux qui auraient été nourris avec des aliments OGM. Grâce à cet étiquetage, la marque espère créer une filière alimentaire entièrement « sans OGM », dans laquelle le distributeur voit un avenir prometteur : les ventes de certains produits ayant reçu le label «sans OGM » auraient augmenté de 15% à 30% depuis leur étiquetage. Pionnier dans le secteur biologique aux États-Unis, Whole foods vend déjà 3300 produits labellisés « sans OGM », sous le sigle « Non-GMO Project Verified ».

L’Association des fabricants de produits alimentaires (The Grocery Manufacturers Association), représentant les principales entreprises d’agroalimentaire et de distribution, ainsi que la Biotechnology Industry Organization, représentant les fabricants de semences OGM, ont fait connaître leur opposition au projet.

Marjolaine Chatin, Alexandra Fournier, DG Trésor, Service économique de Washington

Source : Flash Agri Zone ALENA, mars 2013

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02/04/2013 | Lien permanent

Le CUNY Urban Food Policy Institute – L'Institut de politique alimentaire urbaine de l'université de la ville de New Yor

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L'Urban Food Policy Institute est un centre de recherche et d'action rattaché à la Graduate School of Public Health and Health Policy de l'université de la ville de New York (City University of New York, CUNY). Créé en mai 2016 à partir de structures préexistantes et localisé à Harlem, l'Institut travaille sur divers domaines : santé publique, nutrition, sociologie, planification urbaine, droit, etc. Il réalise des travaux de recherche (notamment analyse et évaluation de politiques publiques), mène des actions éducatives (auprès des étudiants et du personnel de l'université) et conduit des projets de terrain ciblant les problématiques alimentaires de la ville. Il s'appuie notamment sur des collaborations avec divers acteurs. Quatre thèmes sont mis en avant : l'équité en matière de nutrition et de santé, le East Harlem Youth Food Educators Program, l'accès à l'alimentation des personnes immigrées et le commerce alimentaire sain.

L'Urban Food Policy Institute valorise ses travaux dans des ouvrages, des articles scientifiques, des rapports, des Policy Briefs, etc. Parmi les récentes publications, on peut notamment retenir l'analyse de dix ans de politique alimentaire à New York, période d'effervescence en la matière, et les enseignements tirés pour la prochaine décennie, à destination des acteurs publics, des professionnels de santé, des activistes et des leaders communautaires. Les auteurs s'intéressent aux déterminants de la mise en œuvre et aux impacts d'actions publiques (réglementations, investissements, etc.), ainsi qu'à l'évolution des principaux indicateurs de santé et de nutrition de la population. Il apparaît notamment qu'améliorer le bien-être nutritionnel et les politiques promouvant la santé et la réduction des maladies liées aux régimes alimentaires a constitué la première source d'intérêt et d'action publique depuis 2008. À l'inverse, l'appui aux travailleurs du secteur et le renforcement de la démocratie et de la gouvernance alimentaire n'ont fait l'objet que de peu d'investissements. Parmi les recommandations proposées, figurent l'élaboration d'un plan stratégique, l'accentuation de l'action publique de la ville (renforcement des normes, amélioration des règles d'approvisionnement), ou encore le développement d'un programme partagé pour la recherche et l'évaluation des politiques alimentaires.

Julia Gassie, Centre d'études et de prospective

Source : CUNY Urban Food Policy Institute

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09/11/2018 | Lien permanent

Un podcast et une chaîne Youtube pour mieux connaître le secteur de la viande in vitro

Cultured Meat and Future Food, un podcast animé par A. Shirazi, propose de nombreux entretiens avec les responsables des startups, les investisseurs et les ONG liées à la viande in vitro. Ainsi, un épisode récent éclaire l'arrivée sur le marché, à Singapour, fin 2020, des bouchées de poulet de Eat Just, Inc. Signalons également, parmi des événements publics relayés et également visibles sur Youtube, le récent Cultured Meat Symposium où intervenaient P. Shapiro, auteur du livre Clean meat, et I. Datar, de l'ONG Harvest, qui contribuent à structurer le secteur.

Source : Cultured Meat and Future Food

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11/01/2021 | Lien permanent

Stratégie agro-alimentaire de l'Irlande à l'horizon 2020

Le ministère de l'Agriculture irlandais a publié un bilan d'étape de son ambitieuse stratégie Food Harvest 2020 de développement du secteur agricole et agro-alimentaire. En matière de développement agricole, l'Irlande mise sur ses exportations. La stratégie fixe trois objectifs globaux à l'horizon 2020 : une hausse de 33% de la production agricole en valeur, une hausse de 31% des exportations et une hausse de 40% de la valeur ajoutée. Elle mise également sur la durabilité environnementale de la chaîne de production, dans un but de différentiation sur les marchés internationaux. Pour cela, les entreprises peuvent adhérer à un schéma volontaire, Origin Green.

 Cette stratégie avait été mise en place en 2010, au terme d'un processus transparent et participatif. Suite à une large consultation publique, dont l'ensemble des contributions sont en ligne, un Comité avait été mis en place pour élaborer des recommandations. Il était composé de représentants des organisations agricoles, de l'industrie, de la distribution, mais également des consommateurs, des organisations de défense de l'environnement, ainsi que d'économistes, banquiers et experts en finances publiques.

 Le document de stratégie se décline en plus de 200 recommandations issues de ce Comité. L'originalité du processus réside aussi dans l'importance accordée au suivi de la mise en œuvre. Afin de responsabiliser les acteurs, ce suivi est assuré par le même Comité, qui chaque année produit un document d'étape et définit les actions prioritaires de l'année. Le document d'étape de 2012 indique que parmi les 200 recommandations, 4% ont été réalisés, 39% sont en bonne voie, 49% ont fait l'objet de premières mesures et 7% n'ont pas encore été entamées.

Alexandre Martin, Centre d'études et de prospective

Source : Ministère de l'agriculture irlandais

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09/10/2012 | Lien permanent

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